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Je ne prétends pas répondre pour toutes les femmes, certaines de mes amies affirmant qu'elles n'ont aucun plaisir à être caressées de se côté là, rejetant l'idée même d'être pénétrées rectalement
par un doigt, un gode, ou un sexe d'homme, mais comme elles ponctuent leurs dénégations par un " ça fait trop mal", je pense qu'elles ont au moins essayées.
Pour ma part, j’ai découvert ce plaisir de bonne heure, avant le plaisir de la pénétration vaginale et de façon anodine pendant mes toilettes intimes.
Me lavant d'abord la vulve puis ensuite les fesses, comme cela doit être fait, je m’étais aperçue qu'il était agréable de faire coïncider les deux en utilisant une main pour chaque partie.
Un jour, prenant plus mon temps pour bien faire dans les "coins", je fus prise d'une langueur au passage de mes doigts sur mon clitoris pendant que, de mon autre main, je savonnais ma raie et mon
petit orifice.
Surprise de ressentir du plaisir à ma toilette, je continuais mes caresses, massant mon sexe et mon anus, qui lui se détendis et m'appela à une toilette plus poussée.
Aidée par le savon, mon index glissa à l'intérieur du conduis anal une bouffée de chaleur me montât à la tête,
J’étais à la fois honteuse de fouiller cet endroit et curieuse de savoir si le plaisir que cela me procurait, allait continuer à augmenter.
Mon autre main, à ce moment là, masturbait mes lèvres et effleurait l'entrée de mon vagin, revenant de temps à autre agacer mon clitoris, la sensation étais si agréable, que je ne m'arrêtais plus
de me frotter et de faire des vas et viens avec mon doigt dans les fesses, l’anus étais tellement détendus que j'essayais de rajouter un deuxième doigt, le majeur, mais là je sentis que c'était
de la gourmandise et continuais ma sodomie digitale avec un seul.
La jouissance est montée progressivement, de ma vulve et de mon rectum, mais rien ne pouvais plus l'arrêter et les deux plaisirs ne firent qu'un pour exploser dans mon ventre avec une fulgurance
qui, je crois, me fit perdre connaissance quelques secondes, je découvris ce jour là, que j'étais fontaine, car de longs jets jaillirent de mon sexe.
Depuis, j'aime pratiquer tout ce qui est plaisir anal, j’ai initié des amies et aussi mon mari qui ne déteste pas un doigt ou un vibro dans ses fesses pendant les fellations.
MARTINE
Devant les dunes de Messanges, le sable de la plage naturiste découvert par la mer retirée au loin, brûle sous le soleil ardent
Avant de venir ici pour me détendre et me faire bronzer, je me suis complètement épilé de haut en bas. Maintenant, seul sur ce coin de la plage que je connais bien, installé à l'abri des regards
derrière une grosse souche d’arbre que les marées ont apportée et jetée sur le sable fin, je me dénude avant de déballer sur ma serviette étalée les objets hétéroclites que je cherche longs et
surtout gros pour mes jeux solitaires.
Avant de commencer à caresser ma verge imberbe qui se détache plus blanche entre de mes cuisses brunies par le soleil, je choisi une cannette de soda que je pose verticalement sur son fond.
Je l'ai choisie aujourd'hui pour sa forme gonflée en haut et en bas avec un resserrement en son milieu.
Je me délecte déjà de cette pénétration froide qui contraste avec le feu de mon cul.
Pour faire durer et savourer la violation progressive que je vais faire à mon intimité, je dois m’abaisser et me relever lentement accroupi sur le goulot qui va se glisser dans mon ventre.
Les yeux fermés, je m'imagine être une femme qui s'empale sur la grosse verge d'un homme.
Doucement le goulot a commencé à travailler mon anus en l’ouvrant.
- Putain que c’est bon ! La première moitié n’est pas encore passée que déjà j’ai la sensation que le flacon est arrivé au fond de mes entrailles.
Mon anus se rétracte sur le milieu plus étroit de la fiole. La canette, devenue un plug, est arrêtée dans sa progression et maintenue en situation.
Au bout de plusieurs minutes sans bouger dans cette posture, mon cul s’adapte à cette grosseur qui l’empli.
Je regrette de ne pas pouvoir voir le muscle culier s’écarter doucement étiré par le verre lorsque je reprends ma descente sur le verre en savourant le plaisir que je me donne.
Dès qu’il commence des amorces de contractions pour demander une suite, je retire la bouteille en entraînant le rond musclé qui ne veut pas la lâcher.
Je retourne la bouteille et plante son goulot dans le sable.
Toujours accroupi et sur la pointe des pieds, je m’assois délicatement sur le fond plat du verre pour le mettre en position.
Le plug improvisé plus large que mon trou n’arrive pas à s’infiltrer dans mon ventre lorsque je commence à m'abaisser doucement sur lui.
Pour y arriver et m’aider à soulager la douleur que je me donne, je me tortille et tire mes fesses chacune à leur tour avec mes mains pour les écarter. Je pousse ensuite sur mon fondement pour
lui demander de l’avaler.
La peau s’étire, s’étend et s’allonge sous la poussée et les tractions. Vaincu et distendu mon orifice cesse sa rébellion. Mon muscle anal se relâche à la périphérie du verre et mon anneau fini
par s’ouvrir pour accepter l’intrus
La bouteille transformée en phallus termine sa progression au fond de mon ventre.
Pendant la percée dans mon ventre, les spasmes ont repoussé la chair distendue collée le long du flacon envahissant comme pour un long baiser.
Je me retrouve assis avec la bouteille blottie entre mes jambes fléchies. Entre mes fesses reposant sur la serviette, le bout du goulot dépasse au milieu de mon anneau brun qui s’est resserré sur
lui.
Maintenant que je suis bien rempli, j’attends quelques secondes avant de commencer à caresser avec douceur ma verge qui s’est dressée.
Mes doigts montent et descendent en serrant ma hampe pour repousser le sang dans sa tête. Les veines se gonflent rapidement et apparaissent sous la peau.
D’une main, je me décalotte ma verge en tirant sur la peau de son prépuce. Le gland apparaît avec son piercing qui brille au soleil. Je saisi l’anneau avec deux doigts et le tire pour allonger le
trou dans lequel il passe.
Les terminaisons nerveuses excitées, me procurent un courant électrique qui me parcoure et me paralyse.
Je laisse échapper un peu salive de ma bouche sur le bout de mon sexe pour faire glisser le bout d’un de mes doigts dans le canal urinaire.
Je ralenti ma branlette. Trop tard je ne peux plus endiguer le plaisir qui a pris mon ventre.
La jouissance est violente. Elle me secoue, me fait trembler de la tête aux pieds.
Je me soulève sur les genoux avec la bouteille coquine bloquée dans mon fessier et son goulot dépassant comme pour prendre l'air au dehors de mon ventre.
Ma respiration s’accélère, mes couilles remontent dans leurs bourses jusqu’à l’aine pour lancer le sperme. Mes doigts enserrent ma hampe comme une pieuvre pour empêcher la sortie des
spermatozoïdes.
Ils veulent jaillir. Je serre fortement ma main. En caressant ma verge de haut en bas je cherche à renvoyer dans mes couilles la liqueur qu’elle contient.
Lorsque ma hampe cesse de tressaillir, je desserre mes doigts.
Le canal urinaire gonflé rejette aussitôt en longs jets sa liqueur au travers de mon gland dissimuler dans le creux ma paume. Le sperme s’y écrase et glisse sur mes doigts qui emprisonnent ma
colonne de chair.
Je continue mon mouvement tout le long de ma verge pour en sortir les dernières gouttes de semence.
Ma main et mes doigts sont maintenant souillés par ce jus laiteux et blanchâtre que je porte à ma bouche.
Je suce et tète toutes mes phalanges poisseuses. Je me lèche lentement à petits coups de langue pour m’en délecter. Ma langue se glisse partout, recherche des dernières traces de sperme qui
laissent un goût aigre-doux et poivré dans ma bouche.
Après cette faveur que j’aime m’octroyer, je me laisse retomber sur le cul. La bouteille toujours blottie dans mon fondement s’enfonce brutalement en me violant une nouvelle fois.
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