Jeudi 11 février
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10:42
Ce matin, je me suis réveillé avec une grosse envie. Une queue bien raide et l'envie d'une autre queue que la mienne. Depuis quelques jours, j'ai des envies anales, les petites langues de ma
compagne n'y suffisent plus, il me faut du lourd, du dure, du profond... J'ai humecté mes doigts de salive et j'ai commencé à me caressé la pastille brune actuellement très très sensible. Je ne me
suis pas pénétré, j'ai juste mimé de mes doigts une feuille de rose, remplaçant la langue manquante par la soupplesse de mes doigts. Voilà une petite caresse qui ne pouvait pas calmer l'envie, mais
uniquement la conforter, l'augmenter et rendre obbligatoire la recherche d'une solution pour calmer l'appétit anal. Je suis vite descendu à poil à la cuisine, j'ai fouillé le bac à légume et j'ai
trouvé une superbe carotte. Dans les vingt centimetres, partant d'un petit diamètre et s'élargissant pour arriver à près de six centimetres de diamètre. La vue du légume m'excitait déjà. Je l'ai
passé sous l'eau en le frottant bien, pour le laver et le réchauffé. j'ai arrondi le bout du légume, un peu trop pointu à mon gout, puis je l'ai passé un peu au micro-onde pour le réchauffé en
profondeur.et je suis remonté, j'ai pris l'huile d'amande douce dans la pharmacie, et je suis reparti dans la chambre. J'ai repris mes caresses anales mais en remplaçant la salive par de l'huile.
Une fois l'excitation retrouvé, j'ai largement badigeonné le phallus orange d'hule d'amande, et j'ai caressé mon petit frippé avec le bout du légume. J'ai assez vite eu envie d'approfondir cette
caresse. Je me suis mis à genous, le cul bien cambré vers l'arrière, ce qui à eu l'avantage d'écarter mes fesses. J'ai positionné la carotte au contact avec mon anus, et je me suis doucement assis
dessus. Un peu, doucement, puis un peu plus, chaque entrèe se faisait plus envahissante, à chaque aller retour le légume me remplissait plus, m'écartait plus, me possèdait plus, et à chaque fois,
ma dilatation en demandait plus. Il à fini par entrer presque entièrement, me laissant juste un morceau pour le tenir. Je me suis alors remis sur le dos, faisant sortir la carotte d'une poussée
rectale et l'enfonçant avec ma main gauche. Les aller retour me chauffaient l'anus et l'intèrieur, et chaque nouvel entrée me donnait plus de plaisir. Ma main droite caressait mes couilles, mon
sexe et mes tétons. Au bout de 10 minutes de ce délicieux supplice, une grande giclé de sperme s'est étalé sur mon torse, suivi d'autres giclés en rythme soutenue, j'ai jouis fort, avec un râle
aussi profond que le plaisir qu em'a donné le légume. J'ai étalé le sperme sur moi avec ma main, léchant mes doigts pour en recueillir un maximum à ma bouche, m'imaginant sucer gouluement le sexe
qui venait de m'enculé si pleinement et si profondément.
Par Anal Angel
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Publié dans : Histoire
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Très bon cette technique, je pratique la même, sans chauffer les carottes, je les arrondies juste un peu pour enlever l'aspect pointu. Par contre, plus je m'excite, plus je passe à la taille supérieure, il m'arrive ainsi de m'enfiler jusqu'à un concombre ou une courgette...