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J’avais déjà essayé de me masturber l’anus (une zone érogène chez les deux sexes, je le confirme !), et même d’y enfoncer mes doigts. Mais je dois avouer que cela ne m’a jamais permis de ressentir d’orgasme, tel que décrit ci et là : le point G chez l’homme serait la prostate.
Aussi, l’autre jour, après avoir visité ton blog, j’ai sorti un objet dont la forme phallique et les dimensions se rapprochaient le plus de mon propre : un concombre. Plutôt épais, un peu plus épais que mon sexe, et long — deux fois plus long ? –, donc facile à tenir et à manipuler, j’ai entrepris de m’en servir pour explorer les sensations que je n’avais pas encore découvertes.
Après un passage aux toilettes (afin d’éviter toute surprise), nu, propre, j’entammai de préparer mon anus à recevoir cet objet. L’objet de forme phallique était enrobé d’un préservatif sur plus de la moitié de sa longueur, et très abondamment lubrifié. Un rapide massage, un peu (euh… beaucoup !) de lubrifiant (en fait, lors de cette séance, le tube entier y est passé), je m’agenouillai pour entamer la pénétration. Me cambrant afin de dégager le passage, écartant les fesses, je rapprochai mon anus de l’objet aux formes phaliques. Touché. Coincé entre le sol et mon orifice anal, tenu d’une main ferme, j’entamai la pénétration. Dur ! Très dur ! Ca fait mal. Me serais-je trompé d’endroit ?! Un doigt vérifia la position de l’objet, s’enfonça dans les ténèbres, ressorti aussitôt : le passage était trop étroit. Une lubrification additionnelle vint au secours de deux doigts tentant de s’enfoncer et écartant le passage. Un massage pas du tout désagréable, tout au contraire ! L’objet phallique pouvait donc reprendre du service.
Je coinçai de nouveau le concombre entre le sol et mon anus. J’entamai la descente… tout doucement. Ecartant mes fesses et mon orifice avec les doigts, l’objet de mes convoitises s’enfonça de un, puis de deux centimètres. Une douleur atroce, un mal de chien. Je reculai la source du mal, puis essayai une nouvelle tentative. Quelle douleur et quel plaisir à la fois de sentir son anus ainsi « déchiré » ! Je me branlai le sexe en insistant sur le gland pour détourner mon attention de la douleur et me concentrer sur le plaisir. Mais trop, c’est trop : j’ai du me résoudre à ressortir l’objet de mon derrière. Posant le pouce contre mon anus, je le retirai tout doucement. Le pouce m’indiqua la profondeur : près de la moitié de mon réussit à s’enfoncer… Je continuai à me branler.
Une douleur atroce, mais un plaisir fou. J’essayai de nouveau.
Enfoncer jusqu’à la profondeur précédente se fut désormais sans mal. Je pensais avoir eu mal. Ce n’était rien ! Quand il fallu enfoncer au-delà l’objet de mes désirs, ce fut atroce ! Mais en même temps, une sacré excitation me poussait à persévérer. Aussi, je me baissai davantage pour enfoncer le phallus improvisé dans mon cul. Ma bouche s’ouvrit de douleur et de plaisir. Mon souffle fut entrecoupé de légers gémissements, ma main libre s’occupait d’exciter mon sexe, contribuant ainsi à l’excitation générale. Je me relevai un peu, pour retirer quelques centimètres, puis enfonçai de nouveau, m’arrêtant cette fois tant la douleur était présente.
C’est étonnant, cette sensation de souffrance et de plaisir à la fois. Cette impression de transgresser un tabou, et de se faire plaisir en même temps, de ressentir des sensations jusque là inconnues.
Quand la douleur s’estompa, mon derrière s’habituant à ce corps étranger, j’entamai un lent et doux va et vient, tout en continuant à caresser mon gland. Un plaisir immense accompagnait ces mouvements. Etonnamment, bien qu’en l’absence d’orgasme, je vis mon sperme couler par un flux léger, mais continu. Je compris : je venais de réussir à stimuler la prostate… Je sortis l’objet de mon derrière, et terminai par une masturbation pour une éjaculation normale…
Pfiou, quelles sensations ! Douleur, plaisir, excitation liés à la transgression d’un tabou, à la découverte d’une nouvelle pratique, à la sensation de comprendre enfin ce que pouvait
ressentir une femme lors d’une pénétration (ne serait-ce qu’anale) et au plaisir purement charnel… à refaire !
Donner votre avis SVP.
On a rapidement réenfilé nos bas de maillots de bains pour
sortir de l'eau puis on est allé directement dans sa chambre. Au passage, on
a aperçu les garçons qui jouaient toujours à la console et qui apparemment
se prenaient même pour les héros du jeu tellement ils étaient à fond dedans.
Aujourd'hui, ça nous arrangeait plutôt bien. Arrivée dans la chambre, Audrey
m' a directement poussée sur le lit alors que mon corps était encore mouillé.
Elle ne m'a même pas laissé le temps de me sécher qu'elle avait déjà retiré
l'intégralité de mon maillot. Je me suis retrouvé nue sur ses draps et en
quelques secondes sa langue était déjà en train de me lécher le clitoris.
Cette excitation en elle en a provoqué une chez moi encore plus forte. Je
lui ai dit de venir en 69 parce que j'avais envie de voir à quel point son
sexe devait être mouillé. J'ai rapidement constaté quand elle s'est mise en
califourchon sur moi qu'il était trempé. Et pour être franche, j'adore ça.
Plus il y a de mouille et plus ça m'excite. Des fois même on fait exprès de
mettre une grande quantité de lubrifiant pour que ça glisse bien. Bref, comme
je le disais, son sexe était trempé et j'ai rapidement glissé deux doigts à l'intérieur.
Je sentais sa langue qui continuait de me lécher et ses doigts qui tentaient
de se frayer un chemin dans mes chairs. Cette sensation de pénétration que j'aime
tant m'envahissait tout le corps. Je voyais qu'elle bougeait du bassin sous
mon doigtage intense comme pour me faire comprendre qu'elle aimait ce que je
lui faisais. Et puis de cette vue je voyais son joli petit trou du cul
devant moi et j'avais envie d'y glisser mes doigts. Avec la mouille
abondante de son sexe je n'ai pas eu de mal à introduire mon index à l'intérieur
de son anus. Audrey avait lâché un petit cri de jouissance sous mon action.
J'y allais doucement, j'introduisais mon doigt millimètre par millimètre,
jusqu'à ce qu'il soit entièrement à l'intérieur de son anus. J'aimais cette
sensation, c'était chaud et agréable. J'ai commencé les va- et- vient dans
son joli petit trou d'amour et son anus se dilatait au fur et à mesure. Elle
criait de plus en plus fort et j'ai même du lui dire de faire attention pour
pas que les garçons nous entendent. Ces petites caresses anales l'avaient
probablement excitée parce qu'elle a décidé de me faire la même chose. J'ai
senti ses doigts s'approcher de mon anus et elle a introduit son doigt à l'intérieur.
On s'est doigtées comme ça un petit moment pour nous dilater l'anus puis une
fois un peu plus dilatées, on s'est introduit deux doigts à l'intérieur. J'aimais
follement cette sensation dans mon petit derrière et malgré qu'on s'était
déjà caressées à cet endroit, on n'avait jamais introduit plus qu'un doigt à l'intérieur.
Là c'était différent, parce qu'on ne s'occupait plus de notre chatte mais
uniquement de notre jolie petit trou. Je crois que comme moi elle n'avait
pas envie de jouir trop vite, c'est pour ça qu'on se faisait du bien
uniquement par l'anus, pour que le plaisir dure plus longtemps. On savait
que les mecs étaient dans la pièce un peu plus loin et ça nous excitait.
Soudain elle m'a dit qu'elle voulait qu'on se mette des godes et cette idée
ne m'a pas déplu loin de là. Elle est allée chercher les 2 godes qu'elle
avait déjà depuis notre 1ère relation c'est-à-dire le vibromasseur et le
gode gonflable et puis elle a sorti le 3ème gode qu'on a acheté ensemble
il y a peu de temps, à savoir un double gode. Elle m'a dit qu'elle voulait
qu'on se mette dans une position qu'elle aimait bien, toutes les deux à 4
pattes, fesses contre fesses. Dans cette position on s'est enfoncé le double
gode chacun dans l'anus et on a commencé nos va-et -vient et nos déhanchés
de bassins. Ce plaisir était vraiment bon. Avec la main je caressais ma
chatte toutes trempée de plaisir et je me doigtais intensément tandis qu'Audrey
faisait la même chose pour elle. On lâchait toutes les deux des cris de
plaisir et puis Audrey à attraper le vibromasseur pour se goder la chatte.
Ca m'a tellement excitée de la voir faire que j'ai rapidement pris le gode
gonflable pour me le mettre à l'intérieur de ma petite chatte toute mouillée.
C'était la 1ère fois qu'on se faisait une double pénétration et cette
sensation était merveilleuse. Chaque fois qu'on bougeait les fesses pour se
faire pénétrer le double gode dans le cul, ce bruit de claquement de fesses
contre fesses m'excitait. On a fini par jouir rapidement dans cette
position, moi la 1ère, et elle peu de temps après. Après ça on s'est
embrasséees plusieurs fois avant d'aller prendre une douche puis de rejoindre
les garçons.
Donner votre avis SVP.
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